Critiques des filmworks

Bon parlons des filmworks maintnant.

Je viens d'écouter attentivement le 6 appelé 1996



Et bien c'est du foutage de gueule pur, la premiere track part d'une bonne idée, on se dit : tiens un chouette thème hawaien style the gift, mais bon déjà sur la premiere track un solo de gratte redondant vient nous casser les couilles sur le milieu jusqu'à la fin de la chanson, dans la meme veine que anulawasyl sur the dreamers, en moins chiant, mais chiant quand meme.

Alors le reste des tracks ben c'est vraiment rien à voir, deuxieme track baclée, ensuite on entend des trucs style from silence to sorcery, le reste ne vaut franchement pas la peine, mais le pire c'est une track de 19 minutes constituée de bruit de vent, là on atteint le sommet de la pure merde quoi, le foutage de gueule, zorn s'est surement dit, bon allez, remplissage, zaurez 20 minutes de vent.

Perso verdict = 0,1 / 10

Je ferai d'autres critiques tantot.

Et voilà dans la foulée, ma critique sur le deuxieme filmworks tant attendue. Il s'agit d'une critique, une crique, un cirque, un crick.

Digging the biscuit.

FILMWORKS I
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Le début, du blues facile je dirai, rien de bien extraordinaire, cependant le thème est plutot bien trouvé, j'aurai étendu un peu + le main thème. The Heist craque vraiment pas la baraque, Meat dream qui arrive après commence par un peu de noise bon marché suivit d'un riff de guitare assez.... ben assez sans substances, c'est bien ça le probleme avec ribot, il gratte il gratte mais au final ya pas de quoi fouetter un chat.

End Title oui pas mal, c'est vrai.

8éme track, ça peut aller. on entend un peu des sonorités juives en fond. c'est gentil.

9éme : boaf, jazz cliché, + zorneries au sax redondantes.

ensuite la track mexico, oui là effectivement il y a eu de la recherche. En fait les tracks sont assez variées ce qui me demande bcp de travail de critique dans mon rôle de groseille.

12éme track, "mood", ben je vois pas trop ou il veut en venir, on dirait qu'il a trouvé un chouette effet de synthé, 3 notes + des bruits, il a l'air un peu perdu à ce stade de la conception.

ensuite suis le très à chier " rockabiliy ", ribot sait exploiter la gamme pentatonique blues les gars !

Ensuite pour le reste des tracks ben, ça va un peu mieux que le début, mais ça fait désordre, tu vas m'dire c'est un truc de film, ok mais ça n'explique pas tout.


Conclusion : Ben faut voir, faudrait peut etre l'écouter plusieurs fois, en tout cas perso jpréfère pas car j'ai déjà une troisieme critique en cours, et faut pas prendre les gens pour des cons non plus s'ils aiment pas apres un bref aperçu ben ils adhèrent pas et acheteront pas. C'est bien beau de mettre 50 tracks sur un cd mais au bout d'un moment ça devient casse couilles quoi.

Bref, ya quelques bons trucs dessus, mais ya aussi quelques trucs moins biens, c'est dommage il avait tout pour ne pas etre aussi moins bien justement. Un manque d'homogénéité pour un travail de film, ça pardonne pas, mais je vais etre tolérant.

Verdict : 5,1 / 10

après tout ce travail, il faut bien faire une pause.

Salut.

J'ai choisi cette fois ci comme 3éme filmworks; le numéro 4.









Ici, il y a moins de tracks que sur l'album précédement critiqué qui est une daube médiocre je dirai, et encore moins que sur le premier qui est une daube monumentale, écoutez les chroniques de groseille, c'est pas dla merde et lui au moins s'y connait et peut prendre du recul par rapport à un nerd de base, car je suis l'humain parfait.

Geek, Sportif, Playboy, musicien, compositeur (de talent) et j'en passe.

Donc, be ready les fourmis.


Premiere track, qui s'appelle Pueblo.

Pas mal, ça a des accents juifus, c'est interessant à écouter, enfin quelque chose de bon bordel, on commencait à tourner en rond n'est ce pas. Merci de vous en enquérir.

La deuxieme track, est différente, elle est + space, et encore plus interessate, j'en dis pas plus, car j'aime créer une aura spéciale autour des choses.


Troisieme track : quel domage, deux superbes pieces en introduction et paf il faut que zorn gache tout avec une "pisse" bruitiste, à croire que quand il n'a plus d'inspi il place un bon noise bien cheap histoire de remplir et de faire croire à des crétins que c'est completement voulu et dans la suite des choses.

Apres un noise épouvantable inutile, zorn nous sert de la guitare exécrablement improvisées, à la limite meme derek bailey c'est mieux. Quelques passages violents noise à chier aussi s'ajoutent.


Notons qu'il y a quand meme quelques sons interessants mais ça s'arrete là.

Avant derniere piste

Du piano en intro, un peu verveine je dirais, piano bar le samdi soir dans un bar glauque, c'est mieux que la piste précédente mais c'est pas du niveau des deux premieres tracks.

Derniere piste

Ben bof, jsuis déçu, il y a des vocals un peu inutiles, des ptits arrangements cheaps, des sons d'ambiances, la magie n'y est plus, vers le milieu il y a pas mal de trucs interessants, mais ça reste trop dans l'avant garde expérimentale, donc c'est pas super super bien, malgré qu'au départ ce disque avait tout pour ne pas etre aussi mauvais.


Conclusions

2 tracks excellentes sur 5 ça nous a jamais fait un chef-d'oeuvre, zorn n'est pas tres penché " écriture condensée ", dés qu'il fait un truc bien, il remplit en se disant que meme si c'est de la merde, les meilleures tracks éclipseront le merdier, mais non car pour cette fainéantise j'ai meme pas envie d'en tenir compte.

Verdict ; 5,3 / 10


et oui c'est la vie.

Restez à l'affût.

Bon je m'attaque au filmworks 9.



Ca va etre rapide.

QUELLE DAUBE !!!!

je l'écoute depuis tantot et je mettrai de la tecktonic ce serait le meme, on se fait chier à mourrir, et le morceau SIMEN/TOV

on dirait le truc de michael youn, Stach stach.

C'est une blague ??? + des mélodies juives chiantes à mourrir.

PTDR !!!

non sérieux

Verdict : -5 / 10

faut pas se foutre du monde non plus.

Moi j'aime bien la TEKTONIK , MONDOTEK ça déchire . Et puis en plus , je trouve les chorégraphies bien trouvé . Moi à l'époque du grunge , j'écoutais du grunge , sauf Soundgarden !!!! Mais après tout , la mode va et viens !!!

oui mais ici c'est mon topic critique des filmworks, si on commence à parler ici ça n'ira pas.
Ya un topic qui s'appelle " attention juste un truc perso " dans lounge, ou on peut réagir à mes chroniques fantastiques.

sinon après cest le bordel, et jaime que tout soit bien clair quoi.

:rxdgrgxrgr:

A propos du Filmworks IX :
Sûr que si t'aimes pas le style musique juive, tu vas te faire chier avec ce disque. Pourtant, c'est plein de pièces magnifiques (Mashav, du répertoire de Masada [volume 7 du quartet original, repris sur Bar Kokhba, puis par Feldman/Courvoisier sur Masada Recital]; Idalah-Abal, du répertoire de Masada également [vol.1, Bar Kokhba, Zevulun]). Quant à Simen Tov, comment ne pas entendre l'ironie et le sarcasme dans cette pièce parodique.
La musique de ce filmwork est souvent pleine de nostalgie, de tristesse rentrée, et elle illlustre bien le propos du film, un documentaire sur les Juifs orthodoxes homosexuels et leurs difficultés. Et puis il y a la clarinette de Chris Speed, merveilleux musicien (voir le AlasnoAxis de Jim Black, par exemple).
Bref, c'est affaire de goût, mais si vous appréciez le côté plus Masada/musique juive que le côté Moonchild de Zorn, si un duo clarinette (Chris Speed) - orgue/piano (Jamie Saft) ne vous rebute pas a priori, vous aimerez ce disque.

à noter que le film Workingman's Death, qui fait l'objet du Filmworks XVI, sera diffusé sur Arte mardi à 21 h.

http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=844159,day=4,week=18,year=2008.html

Un des meilleurs FILMWORKS quel ensemble : percus , electronic . ZORN , un visionaire ? En tous les cas , ce duo pourrait faire penser à un duo de XENAKIS

Sinon mettre -5/10 à un album de ZORN , c'est un peu abusé .


ET ALORS, CA LE VAUT BIEN.

Le Filmworks XVII regroupe deux films : Notes on Marie Menken et Ray Bandar : A Life with Skulls.
Pour le premier, on retrouve Jon Madof et Shanir Ezra Blumenkranz (respectivement guitariste et bassiste de Rashanim) et Kenny Wollesen à la batterie, + Zorn au wurlitzer et au sax sur 3 titres. Une musique plus relax que celle de Rashanim.
Pour le deuxième, Zorn au piano à pouce et Cyro Baptista aux percussions.
Contrairement aux Filmworks précédents, les musiques des deux films sont entremêlées, ce qui enlève à mon avis de la cohérence au disque. D'autant que dans le genre musique pour percussions, Zorn a déjà fait bien mieux.

Lol je me rappelais plus de ce topic...

:htcffcytxyty: Nimp !

Blobby le Boulet a écrit:

ZORN , un visionaire ?

Lale, c'était bon ça aussi. Quel Nerd çui-là.

'vous souvnez quand il a dit " si zorn pense comme ça, alors moi aussi " ?

Ouais c'tait énorme, mais il l'a mis sur son Myspace, nan ?

il l'a retiré apres

Ah le con, il n'assume même pas ses conneries.

Qui a dit ça? Putain le mutant moisi...

HOWIE L'OTARIE
aka MICROBE
aka LE REGLEUR DE PROBLEME ('tention.)

Putain le remontage de topic tombé dans les oubliettes.

D'ailleurs, tu ne les a pas tous fait, finis ton travail Groseille.

ouai, c'est les vacances en +... putain comme jme la glande cest déconné ces temps ci..
en plus j'ai mes résultats dans pas mal de jours, jsuis un peu comme martin sheen dans apocalypse now quand il est dans sa chambre à attendre qu'on lui propose une mission...



j'aime sentir le napalm comme ça le matin, sur mon forum.