Une Histoire tout simplement

Bon alors pour commencer je ne suis pas écrivain, je n'ai pas écrit depuis quelques mois mais il est vrai que c'est une de mes passions premières en pôle position avec la musique. Et comme vous m'aviez si gentiment proposé de créer une histoire disons bizarre. Réjouissez vous, votre voeu est éxaucé. je l'ai fait mais par le fruit du hasard. Convaincu que j'étais trop malade pour me rendre en cours, j'ai décidé de me recoucher. Et puis j'ai repensé à ce que vous m'aviez dit et le déclic de l'inspiration à tout changé. Un peu comme en musique feuille blanche aucune idée, on se laisse guider on courrige et blablalbla. L'aventure a débuté ce matin et c'est terminé ce soir avec une tasse de café dans la main gauche ou droite (je ne sais plus). C'est un mélange de réel, d'iréel, de vécu, de non vécu, de vrai et de faux, de joie ou de cauchemar bref la vie en somme. Mais la vie de qui et pourquoi ? Vous le découvrirez si vous prenez le temps de lire cette petite histoire complétement nulle et dénuée de bon sens sortit bien sur de mon pauvre esprit embrumé.....

(un peu d'indulgence pour les fautes d'orthographes silvouplait on ne fait plus de dictée au lycée, mais on va me prêter le pivot !)

Je commence par envoyer en deux parties la seconde sera corrigé demain (si tout roule).

Une première sur Tzapak, peut être que d'autres suivront.

Nice. Ce nom résonnera dans mon esprit jusqu'à la fin des temps. M'y rendre était mon but. Une ville où la couleur du ciel et de la mer n'ont d'égales que la richesse du paysage. Au loin, des montagnes imposantes où les randonneurs ne cessent de découvrir des coins mystérieux , une végétation luxuriante, le mariage des odeurs thym et lavande de bon matin et bien sur, le jeu charnel du plaisir interdit avec une, deux, ou même trois bimbos qui traîneraient dans le coin. Pour moi, c'était la Provence. Oh que oui sa l'était ! Je conservais toutes les brochures que je pouvais trouver sur cette merveilleuse ville et m'imprégner de ces images jusqu'à l'ivresse. Mais hélas, après avoir rêvé mille et une fois de ce lieu fantastique, mes bagages à la main et une clope dans l'autre, j'étais loin d'imaginer les événements qui allaient se produire.

Laissez moi vous conter cette histoire.

Il y a moins d'une heure que je venais de quitter ma ville natale abandonnée de tout et de tous. Nice m'ouvrait enfin ses portes. Le rêve allait devenir réalité ! Magnifique. Oui magnifique mais après que le taxi m'est déposé dans le centre ville, rien ne faisait penser à une des brochures que je regardais passionnément chaque soir. Les gens ne se parlent pas ou détournent le regard. Suis-je vraiment à Nice ? A l'intérieur de ma valise je sortais une brochure. On pouvait y lire en première page : Nice, une ville accueillante ou le bleu Azur de la mer vous font oublier tous vos soucis. Je sortais une deuxième brochure : Nice, une ville ou chaque jour, vivre est un vrai plaisir. De quel droit écrivent-ils vrai ? Leurs opinions doit-elles se refléter à travers les pensées des autres ? Au diable ses idées préconçues d'êtres humains ! Puis une troisième et une quatrième brochure. Toutes viennent d'agences différente mais mentionnent un seul et même message. Pourquoi mentir ainsi ? L'appât du gain est-il plus fort que celui de la raison ? Les agences ne sont aucunement dérangées par le fait d'entuber les gens avec des prix honteusement haut pour un billet. Chez nous, le client est roi ! Bordel, comme si je l'ignorais. Tiennent-ils tous pour autant leurs engagements ? J'en doute fort.

Je voulais m'acheter un sandwich pour le déjeuner ainsi que d'autres affaires et décidais d'aller faire mes courses au premier supermarché que je verrais. Devant le tapis roulant, en posant mes articles, j'étais accueilli par une caissière fort belle, avec une poitrine des plus voluptueuses et une bouche entourée de larges traits de rouges à lèvres. Sa chevelure blonde et ses fines jambes croisés sous la caisse d'une fulgurante beauté, bien épilée ainsi que tout les soins que se font les femmes, m'excitaient de plus en plus.

-Bonjour Monsieur.

-Pouvais-je rester insensible à ses charmes ?

-Bonjour Mademoiselle. Je dois vous avouer que c'est la première fois que je vois une femme aussi jolie que vous. Permettez moi de vous inviter à diner.

-Navrée, je suis déjà prise.

Je sentais bien que je la dérangeais et pour cause, en une fraction de seconde elle est devenue désagréable et malhonnête.

Au moment ou j'attendais que cette charmante jeune femme me rende la monnaie, elle me répond :

- Désolé monsieur, mais une loi gouvernementale a été voté récemment au parlement. Je suppose que la connaissez : tous les consommateurs ayant acheté pour moins de 100 euros d'articles ne peuvent récupérer leurs monnaies. Croyez bien monsieur que je regrette amèrement et sachez que ces horribles pratiques m'afflige.

- Sa suffit ! Nous ne vivons pas sous une dictature, rendez moi ma monnaie et tout de suite !

-Vous pouvez crier tant que vous voulez ! Les caisses sont vides je vous dis. Ce plan prévoit de relancer la machine économique. Demandez au patron, nous faisons qu'exécuter les ordres. Idem pour nos concurrents.

- Je vais porter plainte vous savez ?

- A oui et à qui ? C'est le gouvernement qui dirige le pays et donc tout ce qui l'entoure. Les banques, les lois des hypers, supermarchés, les grands et petits commerces, les usines, les industries, Les commissariats, votre façon de penser. Tout ! Et si vous saviez le nombre incalculable de plaintes lancé au gouvernement si bien qu'a la fin ils ont jeté l'éponge et ont fait disparaître toute trace du message ainsi que leurs destinataires.

- Vous en savez beaucoup pour une caissière.

- Nous ne sommes pas toutes idiotes comme les gens s'amusent à le mentionner. Je lis beaucoup, m'informe et me documente. Voilà votre ticket monsieur, merci et bonne journée.

-Je n'en croyais pas mes oreilles. La France d'aujourd'hui vit-elle dans une dictature aveugle aux yeux des gens ? C'est impossible. Je fus donc obligé de partir dans une hargne féroce. J'avais oublié que depuis l'apparition de la crise économique, quelques techniques douteuses ont lieu dans les hypers et supermarchés par des gens au cœur de pierre dont l'unique but est de profiter de la crise en inventant des astuces de plus en plus tordues.


Plus tard je décidais de prendre le tramway. Nous étions tous entassés les uns à coté des autres pendant que des gens criaient dans le fond :
-Faîtes de la place, ils sont derrière nous !

Bon alors sa vous plait ce truc ? J'vous met la suite ou j'attend le nouvel an pour m'acheter un donjon ?

jvais pas lire ça tout dsuite jviens de bosser dans mes cours jsuis trop mort, pour le donjon sur ebay yen a des beaux

c'est ca qut'as acheté?!

ouai, mais un donjon numérique

ah ca va alors

T'as un style reulou, j'm'arrette au premier paragraphe.

C'est vrai cerisier que j'ai bien fait de mentionné que je ne suis pas écrivain.

Mais t'oubli. Donner l'envi à d'autres gens d'écrire des histoires bizarres sur tzapak et c'est the belge qui m'a donné l'idée. Je ne suis que le premier ou peut être pour toujours qui sait. Qu'est ce que tu appel un style relou ? C'est répétitif, c'est chiant ? T'aime pas lire ? J'écris mal ? J'aimerais comprendre ce qui ne vas pas. Peut être pouvez vous m'aider MAITRE

Nan, j'trouve ton style d'écriture assez impersonnel dans le sens ou tu tournes toujours tes phrases joliements, t'en fais des tonnes sur ces tournures de phrases et c'est assez lourdingue, on croirait lire la copie d'un élève qui s'applique. Ca sonne faux enfait. 'Fin c'est mon avis. Lâche-toi plus.

tu as raison. et puis ce n'est pas mon style d'écriture à proprement parler. Lors de mes autres écrits c'était différent mais comme sa fait des mois je n'écrit plus . On ne peut pas tout faire ! Une sonoritée qui est belle à en crever plus du sens c'est le top. Tu as encore raison. C'est le syndrôme de la rédaction et l'écriture sa se travail. Quand je lis K.DICK ou LOVECRAFT j'hallucine comment ils arrivent à tourner leurs phrases pour faire passer leurs idées sans forcément aller jusqu'a l'onanisme des mots.


Mais en dehors de cette parenthèse est ce que l'histoire t'a un petit peu intéressé a par ce problème ou j'aurais mieu de m'acheter un donjon sur ebay ? Tu sais je n'ai pas tout envoyé mais je crois m'être laché sur la deuxième partie faites avant la première.

Il est temps pour moi d'accepter avec plaisir ce que l'on pourrait appeler

Dissonance d'une phrase

voilà j'vais encore vous faire chier mais je déteste faire les choses à moitiè j'corrigerais petit à petit quelque trucs sur cette page.

Cette marée humaine ! Un bébé et sa mère ont manqués de se faire écrasés. Promenade dans anglais. Après avoir poussé certaines personnes, il fallait maintenant que j'attise ma curiosité et fonçait tout en hâte vers la plage. Bon, cessons d'être mauvaise langue une minute.

Dans chaque ville y a un pour et un contre. La plage est superbe mais en se rapprochant un peu plus, on peut y voir des détritus flottant sur un bleu indigo. Cette eau dégouterait le premier nageur venu. Et pourtant, des gens se baignent et nagent avec plaisir. Pas question que je trempe un doigt de pied dans cette eau polluée ! Les montagnes au loin me paraissaient, plus grandes et plus mystérieuses sur les brochures que dans la réalité. Des randonneurs sont sûrement en train de profiter pleinement du coucher de soleil. Partageant ainsi une agréable méditation avec mère nature.

Au loin, sur cette immense route appelée Promenade des Anglais, je voyais un groupe de 5 voyageurs habillés bizarrement. Un gros sac sur le dos les surplombaient, ainsi qu'une tente et des bottes remplient de boue. Aucun doute il s'agissait bien de randonneurs. Je m'empressais de leur parler pour leur demander comment c'était passée la promenade en haut de ces montagnes.

Ils m'expliquèrent qu'ils rentraient d'un lieu encore plus éloigné que celui observable en ces lieux. A mon grand étonnement, j'apprenais que les randonneurs sont interdits depuis que cet endroit à été requis par le conseil général pour en faire un immense cimetière de voitures. Les gens respectent-ils quelque chose à par leur égo ? Néanmoins, j'encourageais ces gens à continuer à faire ce sport. Quelques minutes plus tard je marchais dans la rue et traversais un passage piéton. Une voiture roule à tombeau ouvert et me fonce dessus. C'est encore un miracle si je suis en vie.

-Cette ordure a trouvé son permis dans une pochette surprise. Foutues Brochures hurlais-je.

-Conasse de machine à touristes !

Ne pouvant supporter plus le tramway, je prend le bus dans l'espoir de trouver un hôtel assez proche et peu cher. Mais à peine ai-je entrais-je à l'intérieur de celui-ci que là, devant moi, sous les yeux ébahis des passagers, un homme se tenait assit un couteau à la main prêt à faire la peau de celui qui bougera. Ma première réaction était de redescendre le plus vite possible et d'attendre le prochain bus mais il était 9 h du soir. Aucun autre bus ne viendrais. Une vieille crie assise et pétrifiée :

-Au secours, il va lui couper la tête !

Pris de panique, le conducteur décide d'appeler les flics. Nous sommes toujours à l'arrêt. Sans aucune explication, l'homme pris son sac, range son couteau sort du bus et part au loin dans la nuit noire et glacée. Tout le monde est rassuré mais pas moi. Il fallait que je trouve un hôtel. Le rêve allait vite tourner au cauchemar. Après quelques jours dans un hôtel 2 étoiles et en faisant le compte dans mes économies, Je voulais louer un petit studio afin de mettre un pied dans la vie future.

Créer mon bureau de détective privé. Combien de fois me suis-je dit qu'il s'agit d'une pure folie mais je ne peut éviter l'inévitable. Ce métier sera ma vocation. Je suivrais cette étoile qui scintille bien plus que toutes les autres et je la laisserais me guider.

J'ai couru dans toutes les agences immobilières et après des mois d'attentes, les papiers étaient enfin remplis, puis j'avais mon studio. Et quel studio ? Un plafond fissuré comme jamais vu auparavant. Heureusement que j'ai de la facilité pour colmater ces choses là. Les murs étaient trempées pour cause de fuites" non réparées depuis des décennies" me raconte l'agent immobilier.

A dire vrai, je n'aurais jamais acheté cette baraque si j'avais eu un peu plus d'argent. Le matelas devait avoir au moins 10 ans et il m'est pour l'instant impossible d'en acheter un autre.

La cuisine j'en parle même pas. Lorsque j'ouvre une des étagères poussiéreuses au dessus d'un évier bouché, je découvre avec stupéfaction : des piles d'assiettes sales et des verres pleins de toiles d'araignées et d'eau stagnante.

Il me semblait avoir vu un cafard à l'extrémité du coulissant de la porte d'entrée. Non, c'est trop horrible. Tous les problèmes les plus insensés et inimaginable dans un seul et même studio. Mais le pire se situe dans les sanitaires. Je pensais avoir tout vu, le cauchemar ne faisait que commencer. Des tâches noires. Partout. Il y en avait dans le lavabo, sur la cuvette des WC, au dessus et en dessous des étagères. Bienvenue au festival de la crasse !

J'ai beau frotter comme un forcené, passer du produit, de la javel et même de l'acide pour déboucher les chiottes. Sans succès. De plus, j'ai récemment fait un prêt immobilier à la banque avoisinant les 80000 euros pour financer une partie de cette masure. Je suis bel et bien piégé et il est désormais trop tard pour faire demi tour.

Que faire ? Un rat ne peut pas vivre là dedans mais malgré tout je préfère cela plutôt que de dormir dehors en plein hiver. La fenêtre se fermait mais pas les volets. Je me brosse les dents dans ce lavabo miteux, les robinets rouillés, abîmés par le calcaire. La seule glace de ce lieu est celle de la pharmacie prise d'un sacré impact avant mon arrivé ce qui déforme le visage. Je ne peut même pas me regarder ! Une autre personne serait devenue folle, mais pas moi, il faut que je garde mon calme, que je me reprenne et que je trouve une solution pour améliorer ce taudis, je suis qu'il y en à une ! J'éteins mon portable qui me fait office de lumière, je fume une dernière cigarette et je tourne le dos à la fenêtre car un gros lampadaire brille de mille feux juste devant ma fenêtre !

Il est temps de penser au lendemain. La nuit est infernale, je me lève, je bois un café, (oui j'oubliais de préciser que même en des lieux ou l'enfer n'est pas un mot assez puissant pour nommer cette chose aussi miteuse qu'elle soit, j'ai pris mes précautions avant de partir et j'ai apporté apporté dans un sac, ma bonne et vielle cafetière. Elle ne m'a jamais laissé tomber. Jamais sans ma cafetière ! Morphée m'appelle. Enfin un peu de repos, mais je vais vite déchanté. Je n'ai pas remarqué qu'une ligne de tramway se situe juste sous un pont près de ma baraque.

Pourtant je pensais que à une heure pareil, sa ne roule pas un tramway. Erreur ! J'ai juste eu le temps de dire ouf que sans crier gare, un tramway arrive à tout allure comme une âme désespérée qui cherche à enquiquiner un vivant. Le bruit est insupportable, Toute la pièce se met à vibrer et il était moins une avant que les murs ne s'écroulent comme un château de carte sur votre narrateur.

Je suis terrifié, mais par je ne sais quel miracle, les murs sont restés entiers et le ciel ne m'est pas tombé sur la tête. Hélas, un autre tramway passe et soudain, l'entendit un bruit de vitre. Soudain, j'ai un mauvais pressentiment.

Mes craintes ont été fondés lors du passage du troisième tramway plus déterminé et rapide que les deux autres. Les craquements de vitres se font de plus en plus entendre jusqu'à l'apothéose. Elles se brisèrent en mille morceaux et il ne faut pas beaucoup de temps aux flocons de neige pour traverser la pièce.

De même secondé pour ce vent glacial qui donne des frissons et parcourt l'échine. Je sors de ma valise une couverture et m'affale sur l'ancêtre du matelas. Bien des tramways sont passés. Pendant ce temps un autre bruit attire mon attention. DZZZZ. Mais qu'est ce qui se passe encore ?

Un ressort saute énergiquement du lit, me surplombant et semblant me jeter un regard, je lui fis face. t puis arrive le frère et le cousin trois puis quatre. DZZZ . Au final, toute la famille est au complet. Une demi heure à me dépatouiller avec les joies des miasmes du dessous d'un lit. A commencer par mes découvertes des plus invraisemblables. A peine sur les genoux, une odeur indescriptible et pestilentielle infecta d'un seul coup mes narines. Je n'ai jamais été très doué en apnée, mais il n'y a pas d'eau ici ! Et pourtant, quelquefois dans la vie ,il faut savoir improviser.

Au même moment, je m'arme de courage une pelle usée à la main, un balais (usée également) dans l'autre et il est temps de partir vers des contrées inexplorées. L'air était inexistant, un autre univers s'ouvrait à moi, le comble de l'horreur, des trognons de pommes, des restes de pizzas et des canettes de cola datant approximativement du 2 juin 2003.

L'ancien propriétaire n'est pas de ce monde, il devait venir d'une planète autre que la Terre qui enfante à longueur de journée des Cromagnons irrespectueux, adorant recréer chez eux, l'ambiance des égouts. Et bien sur après avoir payé la modique somme de 100000 euros on a en prime la pelle et le balais.

Que demande le peuple ? Après 30 minutes ininterrompues de nettoyage intensif, tous les moutons ont disparus mais l'odeur subsiste. "Comment diable est-ce possible, pourtant les fenêtres sont bel et bien ouvertes !

Dis-je dans une rage folle. Je commence à désespéré lorsque atterrissant sur un lieu un peu plus propre, j'étais en phase d'apercevoir que derrière l'horreur existe le comble de l'horreur. Une crotte de rat ! Je me penchais pour la ramasser avec ma pelle et croyez le ou non cher lecteur, au fin fond des abîmes, dans la galaxie perdue de monsieur crasse, un trou à rat à même le mur.

Oui je m'étais trompé, un rat peut vivre ici. Mes jambes commencent a flageoler et même le café n'y pouvais rien. Il fallait dormir à tout prix ! Hélas je n'ai guère eu le temps de m'allonger sur l'ancêtre, car la fatigue était trop forte. Je tombais de tout mon long sur le sol au point que le choc de ma chute provoqua une immense auréole de poussière. Le jour se lève et le soleil m'aveugle.

Mes yeux entrouverts, j'aperçois une colonie de fourmis, fraîchement revenues pour le petit déjeuner. Je me lève, j'allume ma cafetière, elle fume, je bois trois cafés et j'attends la visite de l'agent immobilier. Lors de son arrivé, la première phrase que ce bougre eu à me dire est : Avez vous bien dormi ? J'ai préféré ne pas relever. les poches sous les yeux et mon sourire au coin de la bouche lui fait comprendre que je ne suis pas d'humeur.

Pendant plusieurs minutes il m'écoute me plaindre, de l'état des locaux, le confort, les rats, les assiettes sales, le confort, l'insalubrité, les tramways qui passent le soir, les vitres cassés, la pestilence qui rôde en ce lieu maudit. Il prit un petit carnet car il n'arrivait plus à suivre. Ce brave homme voyant mon désespoir, s'assure de se charger de trouver un studio "plus vivable, confortable, convivial ou les gens aiment venir chez vous". Les arguments habituels de vendeurs. Mais quand ? "Une fois qu'un autre studio sera libre." Comptez au moins 3 mois. Je me sens défaillir. Mon cœur bat la chamade et je suis parcouru d'une envie de détruire la personne en face de moi. Quel putain de déveine ! Tout en pensant que vivre 3 mois ici, c'est me condamner, à l'exil, à la folie, à la chaise électrique....

Passez l'hiver et une partie du printemps ici ? A moins que préférer dormir à la belle étoile en compagnie des SDF serait l'idéal ? Non. Je n'ai pas trop le choix. Par contre jamais je n'inviterais des gens en ces lieux. Ils se sauveraient immédiatement après avoir a franchir la porte d'entrée. Je n'ai jamais baissé les bras. Je rêvais d'être ici, je l'ai fais. Je trouverais de l'argent grâce aux petits boulots, je réparerais les vitres, j'installerais un éclairage descend, les vielles assiettes et les verres seront jetées, je lave les sols, une bonne dératisation, la réparation des fuites, je refais les murs et on en parle plus. Mon bureau de détective pourra accueillir des clients dans un an si j'ai l'argent nécessaire. Cela dit avec la crise financière, la montée des prix et l'augmentation de toutes choses en ce bas monde me font froid dans le dos.

Je devrais payer énormément et encore peut être qu'il me faudra attendre d'être grand père avant d'avoir un studio descend et un bureau digne de ce nom. L'agent immobilier s'en va et prend l'escalier. J'ouvre la porte en précipitation et regardais l'escalier. Trop tard. Je remonte les escaliers 4à 4 avec un peu de chance, il n'est pas encore monté dans sa voiture. Arrivé devant la fenêtre et dans la précipitation, mon poignet gauche heurte un bord coupant d'une des vitres brisées.

Mon sang coule à flot mais je m'en fou, je dois savoir ce qui est advenu de l'ancien propriétaire afin de lui dire tout ce qui me passe par la tête. " L'ancien proprio est devenue baron et c'est acheté un manoir après avoir gagné au loto. Je plains ces domestiques. Au revoir monsieur. Il ferma la porte de sa porche et s'en alla. Mon souffle s'arrêta pendant 5
minutes, le temps pour mon sang de faire un tour au rez de chaussé. Je fermais la fenêtre ou du moins ce qu'il en restait. Une infermière m'a recousue le poignet et je pouvais enfin rentré chez..... moi.

Après quelques années de travails en tout genre, au prix de sacrifices et de dure labeur, mon studio prenant enfin la forme que j'attendais. Les amis venaient, les femmes venaient, les collègues venaient bref tout le monde et me félicitaient pour avoir donné un nouveau souffle au studio. Un soir, quelques voisin montèrent chez moi, ce qu'ils n'auraient jamais osé faire auparavant. Ils me parlent du propriétaire et déversent des tas de choses sur son compte.

Il me semble que grâce à ces longues heures de discussions sur leur ancien locataire, On pouvait en tirer les conclusions suivantes : un homme sans gêne qui n'aime personne, vivant dans son miasme comme un monstre qui vie dans sa propre bave dégoulinant. Lorsqu'ils ont appris par les médias que cette infâme poubelle avait gagné au loto, ils riaient et été terrifiés à la fois. Tous les habitants me confièrent qu'ils voulaient le tuer pour se partager la somme mais ce plan diabolique n'eut jamais lieu. Faute de courage. Le hasard à tranché. Même tout l'or de Fort Knox ne pourrait changer son fort intérieur.

Il est 5 heures du matin. Les tramways sont passés. Je m'y suis habitués depuis tout ce temps. Après un bon petit déjeuner, je passe mes heures chez moi ou dans la rue en attendant un appel sur mon portable qui me confierait une affaire. J'ouvre ma fenêtre. Les odeurs du thym et de la lavande r&sident dans mes rêves Provençaux les plus fous mais ont vite été effacé de la réalité par une vague de splendides tourterelles, chantantes, roucoulantes, chiantes, volantes, vivantes.

La cafetière fume, elle m'appelle. Ne t'en fais pas maman. Je vais revenir et bientôt, nous serons de nouveau ensemble. J'ouvre la porte d'entrée, j'allume une clope, je prend l'escalier et presse le pas vers la rue adjacente. J'oublie peu à peu que je ne suis plus sur Pandore et qu'il est grand temps pour moi d'acheter du café. Mère s'impatiente.

A vous maintenant.

Rahhh j'ai dit à vous ou la malédiction de Pandore s'abattra sur vos têtes de merde !

J'apprécie bien l'antithèse titre du topic/contenu

mouahah

Que la Peste soit de vos deux maisons.

bon gros gris aimerais depuis octobre maintenant que quelqu'un ai le crouage de lire une histoire tout simplement et porter un avis constructif

Si il fait ceci, je lui jure que les Dieux Pandoriens Maîtres de tous les Pandoriens le grâciera d'une musique purement Pandorienne à son éfigie et tous les Pandoriens la chantera en coeur car c'est un son qui pourra être chanté


gloire à ???

TA MERE

rfé nous un album gros gris de pandore